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>> Sujet : Le retour du RP comique
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Le 22 avril 2010 ŕ 16h31
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Après le mĂ©morable RP "Je sortis de sa tante", voici un autre rĂ©cit de haut niveau intitulĂ© Le livre d'un survivant. Si vous n'avez pas la patience de lire, lisez au moins la fin (surlignĂ©e en gras), Ă elle seule elle vaut le dĂ©tour. L'histoire se dĂ©roule un peux plus d'un an après une pandĂ©mie. Le monde est ravagĂ©; des camps de rĂ©fugiĂ© se sont Ă©tablit un peux partout sur la terre. L'armĂ© est encore prĂ©sente mais plus qu'en petit groupe Ă pied (ils se sont transformĂ© en mercenaires) Le hĂ©ros s'appelle Maxime. Il est se que les autre appelle un voyageur solitaire. Ce genre d'individu est apprĂ©ciĂ© des autre survivant car si il arrive Ă survivre seul c'est qu'ils sont fort. Les gens s'en mĂ©fient quand mĂŞme car on ne sait jamais se qu'ils peuvent attirer. Maxime est solitaire car il a vu toute sa famille se faire dĂ©vorĂ© tendit qu'ils Ă©taient dans un camps. C'est cette saine qu'il revoit sans cesse. Il ne fait pas confiance aux soldats pour la simple raison qu'il y en a peu qui ne sont pas des crapule suivi de violeur et de menteur. jours 380 AE (après Ă©pidĂ©mie) 7h30: je me suis rĂ©veillĂ© dans une petite chambre, ma carabine sur mon ventre. J’ai mal dormis, encore ses foutu rĂŞves. je saisis mon arme et j’ai ouvert la porte fermĂ©e pour la nuit: on est jamais trop prudent. je me retrouve dans un loft miteux que j’ai trouvĂ© hier soir: les porte Ă©taient ouverte. je me dirige vers la cuisine et me mets en quĂŞte d’arme de blanche Après quelque minute, je me suis assis en face de mes trouvailles: quelques couteaux, deux petite haches de bouchĂ© en aluminium et miracle une boite de cartouche pour pistolet avec l’arme pour les utiliser, c’est plus pratique. je me relève et remballe mes nouvelles acquisitions dans les poches que j’ai cousus pour ça: les couteaux aux tibias, les hachettes aux flancs et le pistolet chargĂ© mais pas armĂ©: une balle dans la cuisse Ă cause d’un choque serait trop bĂŞte. je remet mon sac sur mes Ă©paules et prend ma carabine. je referme la porte dernière moi et y Ă©cris: sĂ©curisĂ©, chambre avec porte en chĂŞne et clĂ©, plus d’arme mais de l’eau courante. Je range mon feutre dans mon sac et me voila partis pour l’inconnu. Peux ĂŞtre que je trouverais une ville de rĂ©fugier aujourd’hui. 10h42: je fais une halte pour manger et me reposer un peu. je sors le sandwich que j’ai prĂ©parĂ© la veille, le pain est râsi et le fromage Ă un mauvais gout mais bon j’y suis habituĂ©. j’ai entendu un grognement. J’arme ma carabine. Trois zombies puant clopinent vers moi. Leurs tĂŞtes explosent et trois douilles tombent aux sol. Je sort ma pelle et creuse un grand trou, les zombies restent des hommes malgrĂ© leurs odeurs et leurs fringales infini. Après avoir enterrĂ© les macabĂ©s, je me suis remis en route l’arme au poing, on ne sais jamais si ses bestioles ont des amis. 11h02: Ils avaient bien des camarades mais ils semblent poursuivre quelqu’un d’autre. je suis allĂ© me poster en haut d’une tour en ruine. Ils poursuivent une femme aux cheveux claire. Je peux conter 12zombies, une belle petite troupe. Je pourrais la sauver et c’est se que je vais faire. je dĂ©plie le viseur de mon arme et met mon doigts sur la dĂ©tente. Je vide mon chargeur sur les clochants. Il n’en reste plus que 2. Je prend de nouvelle cartouche et recharge rapidement mon arme. Vise et abat les deux derniers macabĂ©s. Je dĂ©cents de mon perchoir et vais Ă la rencontre de la femme. Elle me regarde avec de grand yeux bleu. Ses vĂŞtements son en lambeaux. -Vous n’êtes pas blessĂ©? Lui ai-je demandĂ©. -Non, merci, merci de m’avoir sauvĂ© de ses monstres.... Elle est tombĂ© Ă genoux et c’est mise Ă pleurĂ©e. Je l’ai serrĂ© dans mes bras. -ça va aller. Lui ai-je dis pour la rassurĂ©. Elle m’a encore plus serrĂ© dans ses frĂŞles bras. Elle Ă©tait glacĂ©. -Vous avez froid, ma parole!!! Je l’ai assise sur un petit ta de dĂ©bris de bâtiments et lui ai donnĂ© ma couverture, ma seul couverture... -C’est toujours mieux que rien. Bon, il faut continuĂ© Ă marcher. On ne s'arrĂŞte que entre quatre murs et derrière une porte de prĂ©fĂ©rence. -Pourquoi? -Car il est beaucoup plus facile de surveiller une porte que 360degrĂ©. 11h49: Siltia, c’est son nom, m’a racontĂ© qu’elle appartenait Ă un groupe de survivants. Ces idiots avaient allumĂ© un feu, pas Ă©tonnant que des zombies les aient massacrĂ©. Ils Ă©taient une dizaine mal armĂ© contre une quarantaine de zombies, vu qu’il n’en restait plus qu’une quinzaine on peut dire qu’ils se sont bien dĂ©battu. Se fut inutile mais bon.... 13h24: nous nous sommes partagĂ© mon repas vu qu’elle n’avait rien pu emportĂ©. Je lui en ai plus donnĂ© vu que moi au moins j’avais pu mangĂ© avant. en c’est encore blottie contre moi. C’est bon de sentir la chaleur humaine après autant de temps seul. 16h03: Nous avons trouvĂ© un distributeur de nourriture. Siltia l’a ouvert avec un tournevis...son arme. Je lui ai prĂŞtĂ© un sabre que j’avais trouvĂ© dans un musĂ© d’histoire, c’est mieux pour notre survie. Je lui ai Ă©galement trouvĂ© un petit sac en forme d’ours qui lui permet d’y ranger quelque provision et une gourde....une petite gourde. 19h20: Siltia a criĂ© en voyant un colosse, Je crois que je n’ai jamais entendu quelqu’un criĂ© aussi fort. J’ai dĂ» vidĂ© mes dix balle pour le mettre Ă genoux et une hachette pour lui couper la tĂŞte....vraiment chiant Ă tuer ces merdes. J’ai trouvĂ© une chemise en plus ou moins bonne Ă©tat qui allait Ă ma petite protĂ©gĂ©. Elle en fut ravie. Le colosse semblais avoir Ă©lus domicile Ă cotĂ© d’une belle petite maison....ses occupants semblent avoir Ă©tĂ© son dernier repas. J’ai dĂ©cidĂ© qu’on dormirais dans la cave, seul lieu sans foutue fenĂŞtre. Toutes les portes soigneusement fermĂ©es, nous nous sommes endormis. -Bonne nuit Siltia. -Bonne nuit Maxime. ______________________________ Nord ou Sud ? Nadawoo n'a pas encore choisi son camp... Bientôt peut-ętre ? ![]() ![]() ![]() | |
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Le 22 avril 2010 ŕ 16h32
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jour 381 AE: 7h30: Nous nous sommes rĂ©veillĂ©s.... enfin moi en premier puis Siltia qui m’a dit que mon rĂ©veil sonnait trop fort. Je suis sorti de notre cache avec ma carabine pendant qu’elle prĂ©parait les rations du jour. De nombreuses portes et fenĂŞtres ont Ă©tĂ© brisĂ©es signe que j’ai bien fait de vouloir dormir dans la cave. Il restait encore un visiteur, une balle dans la tĂŞte et on n’en parle plus. Je suis sorti, le corps de la brute a Ă©tĂ© dĂ©vorĂ© pendant la nuit, j’aurais dĂ» l’enterrer c’est lui qui les a attirĂ©s..... Siltia m’a apportĂ© mon petit-dĂ©jeuner: une bonne brioche du distributeur, mon estomac est ravi. 8h30: Nous nous sommes dirigĂ© vers le nord-ouest car j’ai dĂ©tectĂ© des traces de pas qui n’étaient pas de clopinants.... des survivants si ils ne sont pas tous mort pendant la nuit car ils ont Ă©tĂ© suivi par une horde de au moins vingt zombies et vu les Ă©cailles en plus deux gargouilles. J’ai donnĂ© ma Beretta Ă Siltia.... se n’est pas avec un sabre que l’on Ă©limine une horde aussi nombreuse. 9h46: La hordes est en vue....les corps des «survivants» aussi... Je me suis mis immĂ©diatement en position de tir: Les deux gargouilles ne devaient pas dĂ©coller. La tĂŞte de la première explosa puis celle de la seconde: mission rĂ©ussie. Il ne restait plus que six zombies et avant qu’ils n’arrivent Ă portĂ© de Siltia, plus que deux. Elle vida son chargeur pour les tuer....je ne lui prĂŞterait plus cette arme. J’ai sorti ma pelle et ai commencĂ© Ă creuser une fosse pour nos amis maquabĂ©s. -pourquoi tu fait ça? Me demanda-t-elle de sa petite voix. -Pour qu’ils n’attirent pas d’autre copains, tu peux allez couper la tĂŞte des anciens vivant? -Mais pourquoi??? -Tu veux les revoir ce soir? Ou mĂŞme dans quelques heures? -Non, monsieur. Je ...je fais ça tout de suite. Elle prit un couteau de cuisine et disparu de mon champ de vision. 10h02: Je sors prĂ©cipitamment de la fosse qui fait dĂ©jĂ sept pied de profondeur...encore cinq et c’est bon mais j’ai quelque chose de plus urgent: Silta vient de refaire son cris de la mort! Elle est couchĂ©e un homme sale sur elle qui lui tien un couteau sous la gorge. -Tu va te taire salope, plus tu de dĂ©battra plus ça dura longtemps! -Tu ne bouge plus fils de pute! Criai-je. Je tire en l’air. L’homme se relève et remonte son pantalon maladroitement. -Je...je ne savais pas qu’elle Ă©tait avec quelqu’un. Me dit il. -Et alors connard! Si elle avait Ă©tĂ© seul tu l’aurais violĂ© puis laissĂ© en pâture aux zombies! -Je...non pitiĂ©! Il tombe Ă genoux. Silta court vers moi et vient se blottir dans mes bras. -ça va allez, il ne te fera plus aucun mal. Je regarde l’homme avec des yeux assassins. Il tombe en arrière et se mets Ă reculer. Je m’avance..... L’homme me supplie de l'Ă©pargner. -Et pourquoi t'Ă©pargnerais-je? Lui ai-je rĂ©pondu -Je ne savais pas! je croyais qu’elle voulait me tuer! Elle c’est approchĂ© de moi avec son couteau. J’ai frĂ´lĂ© la mort, moi! J’ai eu peur et j’ai voulu me vengĂ© sur quelqu’un. PitiĂ©, monsieur. Je ne vous ennuierais plus! PitiĂ©, pitiĂ©... Je me suis tournĂ© vers Siltia. -Que c’est-il passĂ©? Elle dĂ©gluti encore sous le choc. -Je faisais se que vous m’aviez demandĂ© et en dĂ©gagent une corps, il ma sautĂ© dessus! J’ai eu si peur! -Bien....quel est ton nom? L’homme se dĂ©signa du doigt comme si il y avait quelqu’un d’autre! -Oui, toi! quel est ton nom? -Arthur Harper, monsieur. Je m'appel Arthur Harper. -Et bien Arthur, je crois que nous allons devoir vous supporter jusqu’à la prochaine ville. -Merci, merci beaucoup! L’homme se releva et ramassa son arme: un sabre Ă deux main japonais. -Bien tu va nous aider: porte les corps dĂ©capitĂ© Ă cotĂ© de la fosse. Il s’inclina -A vos ordres! 10h33: Nous sommes reparti. Silta reste toujours collĂ© Ă moi et Arthur quelque pas devant nous. Direction nord-ouest.....vers une ville (distance: 82km) 12h57: Nous nous sommes arrĂŞtĂ© pour manger. Arthur a ses propre ration et un grand sac. -Que faisiez vous en plain territoire mort? Lui ai-je demandĂ©. -Nous avons dĂ» fuir le camp des Frères Urute. Les zombies se sont organisĂ©. Le camp est tombĂ© rapidement. -Comment ça? En combien de temps? Et organisĂ© comment ? -Ils nous ont attaquĂ© une nuit. Et nous avons du fuir cette mĂŞme journĂ©e. Il se mit Ă pleurer. -Ces monstres ont envoyĂ© de simple zombies en premier puis des Cuirassier avec des Colosse. Nous n’avons rien pu faire. Des gargouilles ont attaquĂ© les tours. Tous les soldats armĂ© d’arme Ă feu se sont fait tuĂ©. -okay, c’est rusĂ© mais bon. Il n’y avait cas rĂ©cupĂ©rer les armes après. -Impossible, les gargouilles les on prise! -Merde, ça c’est impossible....les gargouilles sont trop stupide pour ça....merci beaucoup. Nous repartons! (distance: 74km) 15h12: Nous nous sommes tous mis Ă terre: une hordes de centaines de zombies marche Ă quelque mètre en contre bas de notre position. -C’est...c’est eux! Me souffla Arthur. -Merde! Ils sont diablement nombreux. A dĂ©clarĂ© Siltia. Je les ai priĂ© de se taire.... -Regardez on dirait que quatre colosses portent un trĂ´ne! -Oui c’est très Ă©trange.... Je sors rapidement mes jumelles. -Oui c’est vrai ils portent un sorte de grande tente rouge. -Mais Ă quoi ça peut bien leur servir? Me demanda Siltia -Tu as dit qu’ils Ă©taient organisĂ©? Et bien il semble que se sois leur QG. -Que faisons nous? Me demanda Arthur. ..... ______________________________ Nord ou Sud ? Nadawoo n'a pas encore choisi son camp... Bientôt peut-ętre ? ![]() ![]() ![]() | |
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Le 22 avril 2010 ŕ 16h32
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-il faut mieux ne pas trainer ici. Lui ai-je rĂ©pondu. Nous sommes donc partie assez rapidement. (distance: 67km) 16h20: Arthur a trouvĂ© un sniper de type L96A1 avec une pochette plaine de balle. Nous n’avons pas beaucoup progressĂ© car il faut Ă©viter la horde. Toute fois pour le moment tout va bien mĂŞme si je me sens suivi. Mon imagination sans doute...j’espère. (distance: 66km) 16h23: Se n’était pas mon imagination: une petite troupe de mort-vivant nous suivait. Arthur a pu les repĂ©rer grâce Ă sa lunette de sniper. Il est entrain de les tirer comme des lapins. J’étais entrain de le regardĂ© quand un cuirassier lui est tombĂ© dessus. Ses griffes sont sortie. Je vident mon chargeur sur le monstre ouvrant une faille dans sa cuirasse. Arthur l'achève avec son sabre. Mais il n’est pas encore tend de se rĂ©jouir car les survivants du lapenage arrive Ă leurs tours: quatre standards et un colosse dĂ©jĂ bien amochĂ©. Je sors mon pistolet et lui tire deux balle dans la tĂŞte, il tombe au sol. Siltia tue deux autre zombies avec son arme. Arthur est au sol, un zombie sur lui. Une de mes hachette fend le crâne de son agresseur. Siltia me regarde. -On les a tous eux? Me dit elle. J'Ă©carquille les yeux, elle se retourne...trop tard. Le zombie plante ses crocs dans sa nuque. Une balle. Elle est libre. Elle me regarde. Du sang sort de sa bouche. Ses pupilles se dilatent. Se n’était pas un zombie ordinaire mais un contaminateur! Une balle et son esprit peut partir tranquillement. J’entant des grognement derrière moi. Je prend un couteau en mĂŞme temps que je me retourne, il va se plantĂ© dans la coeur de mon autre compagnon qui s’écroule en silence. -Vous n’étiez pas nĂ© pour survivre dans le dĂ©sert. Ai je dit en les enterrant. J’ai ensuite pris le sniper et ses cartouches avec les vivres que j’ai fourrĂ© dans mon sac et je suis partie en tenant le collier qui appartenais encore se matin Ă Siltia. Se fut la première fois que je gravais le nom de ceux que j’enterrais sur une pierre. Et je me promis de revenir chaque annĂ©e Ă cette endroits pour leurs apportĂ© de la compagnie. Une larme coula sur ma joue. 17h30: Je m'arrĂŞte pour regarder le paysage. Il est magnifique. La ville est en vue. (distance: 56km) 20h30: Je suis tous proche de la ville. Je dĂ©cide toute fois de ne pas trop m’en approcher....On est trop proche de minuit. J’ai trouvĂ© une caravane oĂą il est Ă©crit sur la porte: SĂ©curisĂ©: clĂ© sur le toit. Matelas confortable, porte solide, bien isolĂ© et pas trop loin d’une ville. plus d’arme, ni de nourriture. Il y a une radio et une tour sortable Ă l’intĂ©rieur. Elle sert parfois d’avant poste pour des expĂ©dition. Je suis rentrĂ©, la porte Ă©tait ouverte, l’air Ă©tait sec et chaud. Un matelas en bonne Ă©tat et contrairement au indication. Il y avait du cafĂ© qui coulait. Je me suis servi une tasse et l’ai bu calmement. Un homme est rentrĂ© quelque instant plus tard. Il me braqua avec son arme, une mitraillette, en me voyant, je fis de mĂŞme. -Que faite vous ici? Me demanda t-il, sa voix ne m’était pas inconnue. -Pitter! C’est moi, Maxime. Baisse ton arme. J’ai baissĂ© mon arme. Il fit de mĂŞme et nous nous sommes serrĂ© dans les bras. Pitter Ă©tait comme moi un voyageur solitaire qui venait de la mĂŞme ville que moi. Il avait des cheveux noir salent et des yeux brun et il Ă©tait un imunodĂ©fenseur tout comme moi: nous sommes immunisĂ© Ă la bactĂ©rie. -Mais que fait tu ici? Je croyais que tu voulais allez dans la camp des Frères Urute! -Le camp des frères est dĂ©truis.... Il me regarda avec de grand yeux. -Comme c’est arrivĂ©? Je lui ai donc tout racontĂ© depuis ma rencontre avec Siltia en passant par celle avec Arthur ainsi que leurs morts tragique jusqu’à maintenant. -Putain de saint merde de dieu! DĂ©clara mon compagnon en buvant une gorgĂ©e de Saquai, un alcool de riz. -Tu l’a dit. Lui ai je rĂ©pondu en buvant Ă mon tour du Saquai. -Il faut prĂ©venir la ville tout de suite a t’il dĂ©clarĂ©. C’est se que nous fĂ»mes: le chef nous prit immĂ©diatement au sĂ©rieux et me demanda combien de zombie arrivait et quand. Il me remercia et nous signala que trois voitures et une camionnette, pour la caravane, venaient nous chercher. 20h55: Le convoi est arrivĂ©; nous sommes vite montĂ© Ă bort après avoir aidĂ© les hommes Ă attacher la caravane. 21h10: Nous sommes arrivĂ©. Ils ont conduit comme des dingues! La ville est dĂ©jĂ en Ă©tat d'alerte pour l’attaque possible de minuit. (note: des attaques ont souvent lieu Ă minuit, mais pas tout le temps et pas de manière croissante.) Le chef, un certain Rober, nous a invitĂ© Ă venir dans son bureau. -Je vous remercie beaucoup pour nous avoir prĂ©venu. je sais que vous ĂŞtes des voyageurs solitaire donc j’imagine que combattre des zombies n’est pas un problème pour vous? Nous lui avons rĂ©pondu par l'affirmatif. -Bien, nous avons beaucoup d’arme et d’homme mais vu que nous n’avions pas des attaques de grosse envergure peu savent les magnĂ©s. Tout mes Soldats de mĂ©tier sont entrain d’entrainer une milice mais ils ne sont pas encore assez nombreux pour bien remplir leurs tache, donc je vous serais encore plus reconnaissant si vous pouviez Ă©galement donnĂ© des cours Ă des future miliciens. Alors? -Des soldats de mĂ©tier? Lui ai je rĂ©pondu d’un ton mĂ©prisant. -Oui, pourquoi? -Bien, je vais entrainĂ© vos hommes mais si un seul des ces merde s'approche de moi, je le tue. C’est claire? -Mais comment allez vous les entrainer alors? -Vous m’avez mal compris: je parle des soldats! Le chef recula d’un pas. -Euh comme vous voulez et vous? -Pas de problème mais vous me devrez des balle et une autre mitraillette. -Pas de problème! Et bien allez y, je fait passer mes instructions. Jour 382AE: 5h22: Pas eu d’attaque J’ai enfin fini de former une quarantaine d’hommes et de femmes. C’était très chiant. Au dodo! 6h32: Je dormais paisiblement quand je fut rĂ©veillĂ© par un succion au niveau de mon sexe! Un femme Ă©tait entrain de me faire une fellation! -Mais que fait tu! Lui ai je dit Elle se dĂ©gagea -On m’a dit que le sperme des solitaires protĂ©geais des zombie. Elle recommença Ă me sucer. Le sperme les solitaire protège des zombie? Mais quelle connerie! Mais bon laissons la croire... ______________________________ Nord ou Sud ? Nadawoo n'a pas encore choisi son camp... Bientôt peut-ętre ? ![]() ![]() ![]() | |
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Le 22 avril 2010 ŕ 16h39
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A MOURIR de rire.
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Le 22 avril 2010 ŕ 18h18
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Au moins on peut pas lui reprocher d'avoir fait 3 lignes ![]() ______________________________ Nord ou Sud ? TimBuk n'a pas encore choisi son camp... Bientôt peut-ętre ? ![]() ![]() ![]() | |
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Le 22 avril 2010 ŕ 22h54
Benjymen
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La fin est tout simplement épique . | |
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Le 23 avril 2010 ŕ 11h16
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le pauvre...
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